Le nucléaire et les nouvelles technologies de l’énergie concentrent l’essentiel des financements publics, représentant respectivement 58 % et 31 % du montant des dépenses, devant la recherche fondamentale (9 %) et les énergies fossiles (2 %). Les trois quarts des dépenses de R&D dans les nouvelles technologies de l’énergie portent sur l’efficacité énergétique (amélioration des batteries et des moteurs pour les transports routiers, bâtiment, industrie, etc.) et sur les énergies renouvelables (solaire, biomasse, éolien, etc.).
Rapportés au PIB, les moyens publics consacrés à la R&D en énergie placent la France en deuxième position des pays du G7, après le Japon. La France est la seule à investir prioritairement dans le nucléaire, les autres pays du G7 consacrant la majeure partie de leurs dépenses aux nouvelles technologies de l’énergie.
Bref ! De quoi illustrer les thèmes du programme de terminale actuel [« comment concilier croissance et la préservation de l 'environnement? », aini que : « quelles sont les sources de la croissance ? »] et le futur programme de terminale : « quelle action pour l 'environnement ? »
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