D’après les prévisions établies au mois de juillet 2020 , le Fonds monétaire international s’attend à un recul du PIB mondial de 4,9 % en 2020. Cet organisme chargé de garantir la stabilité financière mondiale estime que la pandémie de Covid-19 a eu « un impact négatif plus important que prévu sur l’activité au cours du premier semestre » et que la reprise « devrait être plus progressive que ce à quoi on s’attendait ». À la mi-avril, il avait évalué ce recul à 3 %.Le FMI prévoit une plus forte contraction du PIB (-8 %) dans le groupe des pays avancés auquel appartiennent l’Italie et l’Espagne, où sont attendues les plus fortes baisses du PIB (-12,8 % chacun). La France est aussi fortement touchée (-12,5 %) comme le Royaume-Uni (-10,2 %). Le FMI s’attend à un recul du PIB plus limité dans les pays émergents et les pays en développement (-3 %) malgré de fortes baisses dans certains pays comme le Brésil (-9,1 %). La Chine est le seul pays dont le PIB est attendu en progression (+1 %).Le FMI explique que les « différences notables » entre les pays dépendent de plusieurs facteurs tels que « l’évolution de la pandémie », « la tendance de la croissance avant la crise » et « la structure économique ». Ainsi, les pays les plus affecatés sont ceux dans lesquels les secteurs le plus gravement touchés par la pandémie, comme le tourisme ou le pétrole, ont un poids important.
BREF ! Des données qu’il sera possible d’intégrer dans différents points de nos programmes ; qu’il s’agisse du chapitre de tronc commun en seconde : « comment crée t-on des richesses et comment les mesure t-on ? » en particulier sur l ‘item des grandes tendances mondiales ; qu’il s’agisse encore du programme de spécialité de terminale dans le cadre du chapitre « quels sont les sources et défis de la croissance ? ».
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