Les écarts de prix entre produits bio et conventionnels peuvent être multipliés par deux selon les catégories de produits vendus dans les hypermarchés et les supermarchés. C’est ce que montre une étude publiée le 5 mai par le magazine Linéaires consacré à la distribution alimentaire en se basant sur des données de l’institut d’études Nielsen sur 12 mois arrêtés au 22 mars. Ainsi, l’écart de prix atteint 114 % pour la viande fraîche, 71 % pour les tablettes de chocolat, mais tombe à 24 % pour le beurre doux et à 18 % pour l’huile d’olive. Dans certaines catégories, comme la diététique et les desserts végétaux, les produits bio coûtent même moins cher que les produits non bio. Ces fortes disparités sont souvent corrélées au poids du bio dans les ventes globales de la catégorie concernée.
BREF ! De quoi faire travailler nos élèves de seconde dans le cadre du chapitre « comment se forment les prix sur un marché? » et également sur la partie méthodologique : calcul, lecture et interprétation des taux de variation ainsi que : étude des proportions.
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